• http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRh1KORdzzz1K3v7zRKDnxVS40kICyAfs_ecsjfxtkPLwaCBMTCScénario: Audrey Alwett

    Dessin et couleur: Silvestro Nicolaci

    Traduction: Chantal Paluszek

    Editeur/collection: Soleil Productions/Blackberry

    Date de publication: Août 2011

    ISBN: 9-782302-014961

    Nombre de planches: 48

     

    Tome 1: Deviens ma proie

    Audrey Alwett: Audrey Alwett est une scénariste française de BD. Elle est également écrivain et dirige les collections Blackberry et Strwaberry aux Éditions Soleil Productions.

     

    Quatrième de couverture: Loreleï est aveugle et s’ennuie à périr dans une demeure, où son père et sa belle-mère la tyrannisent. Pour tromper son ennui, elle soigne toutes les bestioles venant à crever devant sa porte, jusqu’au jour où c’est un vampire blessé qui vient s’y échouer. Une fois le loup dans la bergerie, il va bien sûr y sortir les crocs. Mais Aloïs, le vampire, est traqué par ses semblables qui en veulent à sa vie. Dès lors, la survie de la bête dépend de celle de la belle, et inversement…

     

    Mon avis:
    L'histoire débute en 1825, dans le port de Saint Malo; on découvre alors comment Alois est devenu vampire. Puis très vite, on se retrouve trente ans plus tard, en Angleterre, en pleine époque victorienne. Pour ma part j'adore les intrigues qui s'ancrent dans cette période de l'histoire, et l'album reproduit assez bien l'atmosphère de celle-ci.

    De même, les décors, les personnages, nous immergent dans une ambiance quasi gothique qui nous rappelle les romans noirs du 19ème siècle. En effet, avec My Lady Vampire, on est bien loin des romances modernes d'aujourd'hui qui mettent en scène un vampire et une humaine qu'un amour impossible unit. Non, on ne peut pas parler de bit-lit ici, du moins pas à première vue. L'intrigue semble plus complexe, et le ton n'est pas à l'eau de rose.

    Cette noirceur est d'ailleurs mise en valeur par les graphismes sombres et élégants du dessinateur Silvestro Nicolaci. L'esthétique de la BD est donc un autre grand point positif à souligner.

    Néanmoins difficile de donner un avis tranché sur cette BD, n'ayant que le tome 1 à se mettre sous les crocs...

     

    Je ne peux donc que finir par dire: vivement le tome 2!

     

    D'autres images:

    http://4.bp.blogspot.com/_lvD3mh4rrlY/TGFgOStPx-I/AAAAAAAAA3U/OUg8hYL28t8/s1600/tav10-b.jpg  http://4.bp.blogspot.com/-5bSy0Thsor8/TZIL6cguaiI/AAAAAAAABAc/c9tcNAkviWo/s1600/tav16b.jpg

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  • http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcS2gBxagvFt_HruChQbtNjFx-Y1It5ff_RFTqi-jpQjR2VRVAR8 http://t1.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQONnSx5BY3PMHjxMQ-Obpw3_fP-2j0WUTvhoqJp_z8bPFJBUSi3w http://t3.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQqJPSWnxm6DZoSgEi_iX-iC1L-Q85wc5gjKQO9Sg7j_J2TyOuuLg

    Dessinateur: Bertrand Hottin

    Scénario: Tot

    Ankama Editions

     

    Résumé:  Un jeune Pandawa unique rescapé de l’attaque de son village se confronte à la dure réalité du monde. Son cœur ne trouvera d’apaisement que dans la vendetta, quand ses proches seront vengés. Son seul indice, une moitié d’un mystérieux médaillon trouvé à proximité des dépouilles de sa famille. Quand le porteur de l’autre moitié aura rendu son dernier souffle… Alors cesseront les tourments de Pandhravan. Pandala c’est avant tout une aventure pleine de rencontres. Un parcours initiatique à la découverte de la faune féroce et de la luxuriante flore de cette vaste île tropicale. Un passeport pour un voyage onirique au cœur de la magie de l’univers de DOFUS : immersion garantie.

     

    Mon avis: Habituellement je ne suis pas très férue de BD, mais lorsque je suis tombée sur le graphisme de cette série à la bibliothèque, je n'ai pas pu résister. J'ai donc embarqué les 3 tomes avec moi, pleine d'espoir.  

    Et lorsque j'ai entamé la lecture du premier tome, j'ai été très surprise: aucun texte. Seulement des images, oui mais de très belles images.

    pandala.png

    Je trouve que ce choix éditorial est très pertinent car bizarrement, l'absence de texte donne du poids à l'histoire. Les images sont d'une telle qualité, qu'elles arrivent à elles seules, à nous raconter, à nous faire ressentir les émotions des personnages.  

    pandala-bis.png

    Tout au moins pour le 1er tome, car j'avoue avoir été un peu perdue par la suite dans la compréhension de l'intrigue. Quelques zones d'ombre quand aux détails de l'histoire sont apparues une fois ma lecture achevée, et je suis restée sur ma fin n'ayant pas compris l'histoire dans son intégralité.

    Néanmoins, je persiste à dire que la présence de texte n'aurait rien ajouté à la valeur de cette magnifique série, bien au contraire.

     Ce qui prime ici, ceux sont les sentiments, ceux d'un jeune Pandawa qui après le massacre de sa famille, part à la recherche du responsable du massacre, pour se venger. Commence alors un long voyage initiatique qui s'étalera sur 3 tomes. Je n'en dis pas plus, car je laisse à chacun le plaisir de découvrir cette série, d'autant plus que l'absence de texte privilégie une interprétation très personnelle de l'histoire.

    Cette lecture m'a donné envie de découvrir un peu plus l'univers de Dofus, totalement inconnu pour moi. Je suis d'ailleurs persuadée qu'il ait plus facile de comprendre cette histoire lorsque l'on a quelques notions sur le Monde des Douze^^.

     

    pandala-bis-bis.png

     


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  • ladydoll.jpgScénario: Daniele Vessella

    Dessin et couleur: Beatrice Penco Sechi

    Traduction: Chantal Paluszek

    Editeur/collection: Soleil Productions/Blackberry

    Date de publication: 2010

    ISBN: 978-2-30200-960-8

    Nombre de planches: 48

     


    Daniele Vessella:
    À 14 ans, Daniele Vessela croise la route du monde de Disney, c'est un véritable coup de foudre !

    Daniele entre à l’école Romane de Bandes Dessinées, où il espère concrétiser sa grande passion pour le dessin. Sur les conseils du Directeur, il s’oriente vers le scénario et, sitôt sorti de l’école, il propose un projet à Disney Italie.
    Celui-ci est accepté. Daniele collabore alors comme scénariste avec la grande boîte à rêves. Daniele a plusieurs projets en cours. Parallélement à Disney Italie, il travaille pour « Le Nuvole » et « Blacksmoking » et signe le projet « Lady Doll » chez Soleil (collection Blackberry) avec Beatrice Penco Sechi au dessin et à la couleur. Son blog

     

    Résumé:   Gaja ne parle qu'à ses poupées. Il faut dire que son visage déformé lui vaut d'être rejetée du monde, des autres enfants comme de son propre père. La seule créature à pouvoir comprendre Gaja est sa mère, Claire, une femme fragile, qui lui offre quantité de jouets pour qu'elle se sente moins seule. Mais Claire a une santé fragile, qui ne s'améliore qu'avec cette drogue que lui fournit son époux.

     

    Mon avis: Cette BD est vraiment une très belle découverte.

    D'abord, les graphismes m'ont beaucoup plu. Je n'ai pu m'empêcher de penser à l'univers de Tim Burton, avec des personnages caricaturaux, aux visages très expressifs. De plus, le décor nous fait réellement plonger dans l'univers d'un conte funèbre, avec des couleurs chatoyantes et inquiétantes.

    http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTvaDJIS46SjBZxbCGrhoxAViVzWOHjHBY3gGWQE26vFZO7GCfK

    L'histoire quand à elle, est celle d'un Pinocchio inversé, repoussé à cause de son physique disgracieux. La pauvre petite Gaja est rejetée par les élèves de sa classe, par sa gouvernante et même par son père qui voit en elle un monstre. Seule sa mère Claire l'aime telle qu'elle est, mais souffrant d'une dépression mystérieuse, elle a une santé fragile et ne peut être très disponible pour sa fille. C'est ainsi que Gaja s'est enfermée dans son monde de poupées qu'elle considère comme ses amies, pour se protéger du monde réel, si froid envers elle.

    Mais le jour où sa mère décède, commence un nouveau cauchemar pour elle...

    Une intrigue passionnante, voilà ce que nous réserve cette BD. Les personnages ne sont pas lisses, et l'auteur nous montre habilement que le monstre de l'histoire n'est pas celui que l'on croit. Les apparences sont parfois bien trompeuses...Bref, un conte dramatique dont il me tarde de lire la suite!

    J'en profite pour vous dire également que cette BD a été l'occasion pour moi de découvrir une magnifique collection résolument girly: Blackberry.

    Voici la présentation de l'éditeur: Par quelque sortilège parfumé, la collection Blackberry saura séduire les lectrices avides d'histoires qui font enfin écho à leurs songes. Bienvenue aux princesses déchues, pin-ups éplorées, danseuses maudites, poupées de porcelaine qui s'éveillent et champs de roses maléfiques...

    Je sens que je vais adorer cette collection des Editions Soleil! D'ailleurs, accompagnant ce nouveau souffle féminin, une autre collection a attiré mon attention: Strawberry.

    Pour en savoir plus, rendez-vous sur le blog de la directrice des deux collections :

    http://t2.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQcPUm5Cmp-kgt8tUVzT5eDnn47V9I6-431iTE6NtUJx4xW2R1BLQ

     

     


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  • http://www.bedetheque.com/thb_couv/NouillesTchajang_02122005.jpgScénario: Chi, Kyu-Sok

    Gaphisme: Buyn, Ki-Hyun

    Publication: 2005

    Editeur/collection: Kana/Made in

    ISBN: 2-87129-867-X

    Nombre de planches: 204

    Genre: manhua

     

    En savoir un peu plus sur l'auteur et le dessinateur ici

     

    Résumé: Ahn Do-Hyun décidé, à 17 ans, de se prendre en mains, un peu étouffé par un père trop présent et une mère trop effacée. Il est donc engagé comme livreur-commis de cuisine au restaurant chinois La grande Muraille (nous sommes en Corée, au début des années 1990).
    C'est l'époque des premiers vrais émois amoureux, des virées à moto avec les copains, des premiers questionnements sur la vie.

     

    Mon avis: Bon, autant le dire tout de suite, je n'ai pas du tout accroché à ce roman graphique. Peut-être suis-je passée à côté de la portée du livre, mais pour une quatrième de couverture qui laissait présumer de jolies réflexions sur la vie, notamment sur l'entrée dans l'âge adulte: nada! Pas de petites réflexions philosophiques comme je les aime, ou comme je les avais adorées dans My Way...Le héros est peut-être trop simple, trop inconsistant pour faire de ce qu'il traverse une leçon de vie. C'est un ado lambda, qui se cherche, et qui finit quand même par se trouver,

    De plus, je n'ai pas non plus été séduite par le graphisme. Les couleurs sur des tons pastels et sans vie, reflètent le récit qui fut pour moi d'un réel ennui.

      http://www.bdgest.com/critiques/images/planches/52371.jpg

    Je n'en dirai pas davantage car même si je n'ai pas aimé Nouilles Tchajang, je ne veux pas dévaloriser un livre dont j'ai peut-être râté l'enjeu.

    Et si c'est le cas, je serais ravie que ceux qui ont lu et apprécié cette oeuvre partagent leur avis ici, et m'expliquent ce qu'ils ont aimé dans cette lecture.


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